Wednesday, November 14, 2012

Critères pour un "Comparatif" des e-librairies francophones

J'envisage de créer une première ébauche de comparateur des e-librairies francophones...

Celle-ci pourrait-elle s'intégrer par exemple sur une page Wikipedia ?
Ou sur une autre Wiki ?

Critères :


Offre (livres, périodiques etc.)
Formats : epubs, pdf, mobi/prc/azw, audio, papier
Modes d'"Acquisition": Achat/Location/Abonnement/A la page
Modes d'Accès : Téléchargement/Streaming/Streaming+Déconnecté/Web
Plateformes de lecture "dédiées"
Protections possibles DRM/Watermark/Sans
Langues du catalogue
Affichage des protections
Paiement : CB/PayPal/Autre
Ouverture aux auto-publieurs
"Clowd"iness
Recommandations personnelles
Editorialisation
Evaluations: notes et commentaires, ouverture aux "non clients"
Modèle financier : publicité, à l'acte, freemium/premium



De même, je penserais intéressant de diffuser (mais pas la même page bien entendu) la même chose pour les éditeurs...

"Gamme de prix" ?
Ecart constaté par rapport au papier
Type d'édition
Traductions
"Exclusivité" : Première epliotattion, seconde,
DRMs : DRM/Watermark/Sans
"rémunération des auteurs" ?
Auto-édition



Qu'en pensez-vous ? Manque t'il des critères (Objectifs et vérifiables facilement !)

10 comments:

  1. La possibilité de noter/commenter l'ouvrage ? Sans oublier l'accès à ces commentaires pour l'acheteur potentiel.

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  2. Autre idée : la possibilité de sauvegarder ses ebooks en local et pouvoir accéder au fichier sur son HDD. Fondamental à mon sens (Google ne le permet pas par exemple).

    Préciser si les DRM sont imposées aux éditeurs par défaut (voire sans possibilité de les zapper pour ceux-ci).

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    1. Merci pour tes suggestions. j'ai modifié le post pour clarifier "téléchargement" qui était déjà présent. Sinon, par rapport à ta suggestion DRMs, je ne connais pas de libraires qui les "impose". Juste qui les encouragent, ou ne les découragent pas... Et comme c'est sans doute partiellement subjectif, je pense le laisser.

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    2. Il n'y en a pas qui en mettent par défaut si l'éditeur ne coche pas une case pour l'éviter ?

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    3. Il y en a (il me semble) qui mettent une case cochée par défaut par exemple, mais c'est galère à vérifier... et est-ce que c'est vraiment dans une intention pro-DRM ? C'est là une part de subjectif :(

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    4. Pas faux en effet. Laissons le bénéfice du doute. ;)

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  3. La gamme de prix ne suffit pas. Faut-il aussi la comparer – lorsque c'est possible – aux prix papier.

    Nécessité également de préciser le type de collection, qui en papier correspondrait à princeps (grand format de première publication), poche, club, reprint, etc.

    Préciser aussi le type de droits d'auteur applicable : première exclusivité (éditeur et collection d'origine), seconde exclusivité (reprise en édition poche ou club), libre de droits. De plus une cas « autoédition » serait pertinente.

    Pour les cyberlibrairies, préciser le type de fichiers vendus : epub, mobi, pdf, audiobook, etc. Préciser en outre si le cyberlibraire vend uniquement du numérique (Feedbooks) ou vend aussi des livres papier (Amazon, Decitre).

    Dans tous les cas, la mention des langues disponibles aurait quelque utilité (ePagine, Feedbooks).

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    1. Mise à jour pour prendre en compte vos critères...

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  4. Philippe, je suppose que les premiers critères que vous proposez concernent les éditeurs n'est-ce pas ?

    Pour les types de fichiers vendus, l'intitulé "formats" n'est peut-être pas explicite effectivement.

    Sinon, effectivement, la mixité des offres (papier et ou numérique) d'applique aux deux...

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  5. Ça concerne les éditeurs *et* les libraires, puisque les libraires vendent aussi des produits venant des éditeurs – ces fameux produits que, sous forme de papier ou de pixel, on appelle des livres. ;)

    Cela dit, le consommateur lambda ne fait pas exactement la différence. Il achète un produit chez un vendeur et en cas de problème il s'adresse au vendeur ; si ne problème est mal résolu, il me semble que l'image du vendeur (libraire ou prestataire équivalent) en sera plus écornée que celle de l'éditeur.

    J'ai l'impression que cette différence par rapport aux autres produits, si elle s'avère, tient à la charge « émotionnelle » liée au livre plus qu'à n'importe quel produit lambda, que ce soit un aspirateur ou une cafetière.

    Il me semble aussi, mais je dévie un peu du sujet initial, que les liseuses – et peut-être pas les tablettes – contiennent un potentiel similaire en termes de charge émotionnelle.

    C'est peut-être ce qui explique pourquoi des forums, blogs, etc. de « geeks » du livre numérique (comme le tien et bien d'autres) entremêlent volontiers les deux univers, celui du matériel (la liseuse) et celui de son contenu (les ebooks).
    À moins que la mémoire ne me trompe, je crois me souvenir que les forums de geeks il y a quinze ans parlaient plus volontiers du support (Internet, l'HTML, les logiciels, etc.) que de ce qu'ils permettaient d'accomplir (lire, se documenter, dialoguer, se cultiver et découvrir d'autres cultures).

    Désolé, j'ai dérivé. ;D

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